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  • Catégorie : Brèves

Pas vu, pas pris

Selon l’écologiste Alfred Leclercq, il y aurait un risque de pollution des nappes phréatiques sous le stade Pierre Mauroy. La faute aux coulis employés pour combler les vides des carrières souterraines, notamment des coulis à base de cendres où on trouve des éléments radioactifs (polonium 210, uranium 234…) et divers métaux (antimoine, sélénium…). La réponse de Stéphane Dandoy, directeur d’Eiffage TP, est sans équivoque : « Les éléments radioactifs sont bien là mais sans danger. Nous avons dépassé les seuils, notamment sur le sélénium, c’est vrai, mais seulement au moment du coulis. Il n’y a plus de trace aujourd’hui. » Circulez, y a rien à voir.